“Without sexual liberation we could not have written this book , and yet we wrote it in order to shield love from the discourse of (political) liberation. For what is desire but the experience of a wonderful subjection?”
“‘Sans la libération sexuelle nous n’aurions pas pu écrire ce livre, et pourtant nous l’avons écrit pour soustraire l’amour à l’emprise du discours de la libération. Qu’est-ce en effet que le désir amoureux sinon l’expérience d’une sujétion merveilleuse ?”
Alain Finkielkraut, one of France’s (more controversial) contemporary thinkers, in the Nouvel Observateur, March 2008.
Eh bien, mon con. Je suis clairement un peu susceptible aujourd’hui. Bien a vous. L
The ‘lot that was left to be desired’ was aimed at Mr F and not you, Lucy.
Charles, merci. Je traduis maintenant toute la citation. Mais je pense que cela ne change rien sur le plan de la dialectique. Lucy
‘Sans la libération sexuelle nous n’aurions pas pu écrire ce livre, et pourtant nous l’avons écrit pour soustraire l’amour à l’emprise du discours de la libération. Qu’est-ce en effet que le désir amoureux sinon l’expérience d’une sujétion merveilleuse?’ [Alain Finkelkraut]
Une pirouette dialectique qui laisse à désirer ?
Still undecided about Finkielkraut. I think he’s a useful figure in the French intellectual landscape and I suspect that his ideas (on Israel and on Love) are less radical than his enemies would like to believe. The rather stultifying atmosphere of intellectual consensus in France needs an antagonist like him.
You are right to call him controversial. I would go further and suggest that he is as wrong about love and liberation as he is about Israel and Zionism.
good choice.